L'équipe Make it vous souhaite de joyeuses fêtes ! ✨

Le « Who’s who ? » du coworking et ateliers de Make It

coworking marseille, coworkers marseille

Le « Who’s who ? » du coworking et ateliers de Make It (1ère récolte)

Dans le coworking et les ateliers de Make It Marseille, on croise des bijoutières, des artisans du bois, des consultants, des archis, une rédactrice, des designers, des graphistes, un danseur, etc. Ces makers (les membres de Make it) viennent travailler quotidiennement ou de temps en temps, plutôt l’après-midi en commençant par déjeuner avec les autres ou le week-end, depuis quelque temps… Ce premier « Who’s who ?’ » nous invite à les découvrir et surtout à comprendre en quoi faire du coWorking ou du coMaking est profitable à leur activité.

Mathieu Cossais

Mathieu CossaisMathieu est Directeur Artistique, en freelance, depuis 2010. Venu s’installer à Marseille, il y a cinq ans , il travaille essentiellement pour des clients parisiens ou étrangers. Depuis janvier dernier, on peut le retrouver tous les jours dans la bibliothèque de MIM, armé de sa tablette graphique, derrière son écran 27 pouces…

« Je travaillais chez moi, dans une pièce dédiée à mon activité jusqu’à l’arrivée de notre enfant pour qui nous avons transformé mon bureau en chambre. J’avais aussi besoin de « sociabilité », de croiser quelques personnes chaque jour, même si je suis plutôt réservé de nature.
Je souhaitais me poser dans un cadre de travail qui me plaise, où je ne me retrouve pas « collé à mon voisin » pour de seuls enjeux de rentabilité commerciale, au sein duquel je puisse respirer, me sentir bien ! C’est pour cela que j’ai décidé de venir coworker chez Make It.
De plus, c’est à 10 minutes de chez moi et comme mes journées de travail sont assez chargées, j’ai besoin de ne pas perdre un demi-heure de trajet le matin et le soir pour aller travailler. »

Alexia Courdurié

Alexia CourdurieAlexia est spécialisée en marketing commercial, elle fait du « télétravail » pour DROFUS, une société norvégienne proposant une solution de données destinée aux projets de construction (du « Building Information Modeling »). Elle s’installe régulièrement à l’une des grandes tables partagées de l’Écurie de MIM (espace central).

« Ces six derniers mois, je travaillais seule chez moi, j’ai eu envie de séparer mon activité de l’univers de la maison, de « partir au travail », d’avoir des collègues, d’être dans un cadre professionnel. En faisant du coworking, je peux m’imposer des horaires fixes, retrouver ma concentration et ma rigueur même si j’aime m’installer précisément dans l’espace central, près de la cuisine où il y a plus de passage ; ici, c’est à la fois dynamique et calme, confortable et cosy !
Il y a une autre raison pour laquelle, j’ai choisi de venir chez Make It : j’ai été très attirée par cette possibilité qu’offre le lieu de faire des choses plus créatives au-delà de mon travail habituel comme utiliser la machine laser et pourquoi pas, créer des bijoux… »

Carmilla Demachy

Carmilla DemachyCarmilla est l’une des bonnes fées de Make It ! Makeuse de la première heure, elle a installé et partagé ses machines d’encadreuse d’art à l’atelier et n’est jamais la dernière pour mettre la main à la pâte des chantiers partagés de MIM (dernier exemple : l’aménagement collectif de la terrasse). Tous les jours, elle ponce, assemble, découpe pour ses encadrements. En ce moment, elle prépare aussi l’expo des œuvres de son arrière-grand-père sur l’entre-deux guerres… qu’elle encadre avec soin, bien évidemment !
« En 2016, je voulais créer mon atelier, mais je ne voulais pas être seule, j’ai cherché des ateliers partagés mais en raison des tarifs et de la difficulté à s’engager avec des gens qu’on connaît peu, j’ai préféré travailler en coworking.
Je dois être l’une des seules à le faire dans mon métier, cela étonne parfois mes clients. Il n’y a pas d’autres lieux de coworking aussi grands que les ateliers de Make It c’est pour cela que je me suis installée, ici, avec mon matériel et aussi parce que j’en aime l’ambiance : avec les autres, on partage le « bonjour », le repas, des compétences et des conseils et aussi des projets comme celui que nous sommes en train de monter avec Floriane (Kontrast Design).
De plus pouvoir recevoir mes clients ici est un atout : ceux-ci ne viendraient pas si mon activité était trop excentrée… »

Cueilli à la main par Céline Aguilera, coworkeuse chez MIM…

Retour en haut